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Critiques Presse

Jazz News
“The Hammond champion and Rhoda Scott’s confessed heir is making a true cultural revolution, having himself singing with a delicate and sophisticated voice some absolute “incunabulum”, signed Stewie Wonder, Cole Porter or Bill Withers. Special guests and friends had hurried up to this Party after hours, cool and sensual : LaVelle and Anne Ducros bring a mischievous sensitivity to themes in which it is very much talked about love, and Emmanuel Bex gives his science of the strange, to a keyboard between barbarism organ and Fender Rhodes in “The Man I Love”, that we discover here for first time sung by a man. Jazz recovers here the sensuality of existentialist basement, and a leeway fragility that cloud and charm”
Christian Larrède
Le Figaro
" … l’immense organiste Jimmy Smith, âgé aujourd’hui de 80 ans, devait ouvrir les hostilités … Patry fut appelé au pied levé afin de remplacer le maître … le fantôme de Ray anima les doigts de Patry … un concert enlevé, plein de swing, collant à l’esprit de Jimmy Smith … "
Stéphane Koechlin
Libération
" … le protégé de Rhoda Scott, connu comme le meilleur praticien français du moment de cet instrument culte qu’est l’orgue Hammond B3 a remplacé au pied levé Jimmy Smith … à 20h30, Patry est donc sur ladite scène, devant près de 2000 spectateurs … les vibratos graves et profonds de l’orgue Hammond attaquent Georgia et transforment une nouvelle fois la pinède en temple du blues, de la soul et du swing …. Stéfan Patry plane … les quatres inattendus font oublier l’absence de Jimmy Smith "
Patrick Sabatier
Nice-Matin
" J’ai été agréablement surpris de Stefan Patry. Il a un talent fou » a expliqué le guitariste légendaire Phil Upchurch. "
Robert Yvon
Jazz6 - M6
" Stéfan Patry, l’organiste qui monte "
Philippe Adler
Jazz Man
" Stefan Patry joue l’orgue et son folklore à fond, entre funk aux accents néo-orléanais et hard bop, entre slow en cabine Leslie et pas chaloupés de biguine, schuffle et fast swing "
Frank Bergerot
Alain Tomas
"Enregistré lors d’une chaude soirée au Duc des Lombards, ce disque montre combien les conditions du direct conviennent à la formation de l’organiste Stefan Patry. On entend, en premier lieu, une musique sensible et vivante, puissante et simple qui évoque des climats variés au travers du rythme chaloupé de Chicken Walk, de l’atmosphère funky de Tonnerre de Brest et du recueillement pudique de Last Voyage. Ce métissage culturel s’effectue avec une authenticité qui ne doit rien aux sons à la mode et aux habitudes réductrices de la world music comme en témoigne un répertoire original constitué pour l’essentiel de compositions du leader. Les membres de l’Organic se connaissent bien et visiblement heureux de jouer ensemble. Le trompettiste Michel Delakian qui possède une belle sonorité riche en harmoniques, le batteur Jean Philippe Fanfant et le guitariste Gilles Renne s’expriment longuement en dehors des sentiers battus. Nourri à l’art de Rhoda Scott, Lou Bennett, Jimmy Smith et Eddy Louiss, Stéfan Patry est particulièrement bon dans Lounge Blues, et l’incandescent Tonnerre de Brest. Une musique faite de convivialité et d’amour "
Jazz Hot
" Dans la plus pure tradition de l’hammond volcanique, Stefan PATRY s’adjoint les services puissants d’une section de cuivres et de percussions sur des compositions personnelles. Une pêche naturelle sismique qui swingue dans tous les registres "
Jean Szlamowicz
Andrea Marcelli
"Un jazz mélodique et plein d’entrain, celui de Stefan Patry, protagoniste avec son magnifique orgue Hammond d’un très beau concert le 27 février au Duc des Lombards. Venu à l’occasion de la sortie de l’Organic, enregistré Live dans la même salle, Stefan Patry a démontré une fois encore une originalité, assez unique à l’heure actuelle. Accompagné de la rythmique puissante de Jean-Philippe Fanfant, des brillantes interventions de Michel Delakian(tp) et Gilles Renne(g), le leader a enflammé la salle avec son groove volcanique en transformant le concert en une vrai fête. "
Lorraine Soliman
"Il est vrai que certaines musiques plus que d’autres imposent le live .A l’écoute de ce nouvel album de l’organiste Stefan Patry, l’on est heureux que ce fervent disciple de Rhoda Scott ait pu mettre son projet à exécution, à savoir se faire enregistrer en direct lors d’une de ces soirées volcaniques portées par l’ambiance du club. Ce n’est pas un hasard si cet Organic Live s’est déroulé au Duc des Lombards. C’est ce même lieu qu’il avait choisi en 1996 pour organiser le premier festival dédié à l’orgue Hammond. Et l’on y vérifie une fois de plus jusqu’à quel point la promiscuité peut favoriser l’interaction entre la salle et les musiciens. S’il règne une ambiance euphorisante d’un bout à l’autre de l’album, même sur un tempo lent comme « Last Voyage », c’est que l’énergie brûlante qui circule entre les musiciens se propage le plus simplement du monde. Ondes courtes, ondes longues, larges courbes bluesy ( « Lounge Blues »), petits virages serrés ( « Chicken Walk »), ça vous gagne dès les premiers accords « orghammoniques ». En dépit d’un métissage qui mène si souvent à la confusion, le propos des musiciens reste clair, efficace. De son propre aveu, Stefan Patry cherche la simplicité, y compris mélodique. Son honnêteté devrait en faire rougir plus d’un(e) qui ont tendance à oublier que la musique, et le jazz en particulier, est en langage sensible plus qu’intellectuel. Ici , les bases sont saines, les options retenues coulent de source. Sur des compositions de l’organiste à l’exception de deux d’entre elles, les musiciens communiquent dans le respect des règles élémentaires du jazz, ce qui leur permet quelques audaces comme cette interprétation de « Summertime » de Gershwin rarement associé aux sonorités de l’orgue. Sur « Go to Bangui Go », Jean-Philippe Fanfant déborde de son rôle de batteur en utilisant le vocabulaire d’un percussionniste accompli. En solo, au contre-chant , à coup de riffs toniques ou de blue notes étirées, Michel Delakian (tp) introduit ce soupçon de tension qui redonne sens au groove puissant qui a tendance à l’emporter sur les autres sensations. Le duo orgue-guitare qui conclut le « Tonnerre de Brest » de Gilles Renne constitue le point d’orgue d’un album sans prétention autre que de partager une passion portée par un swing organique. »
Keyboards – Home Studio
"Un jazz dynamique, harmonieux, swinguant, qui donne la pêche et distille le bonheur "
Alain Mangenot
Télérama
"Stéfan PATRY joue l’orgue avec swing et chante avec tendresse et on pourrait aussi renverser la tendance "
Michel Contat
Nova Magazine
"L’orgue Hammond est le plus naturel dealer de groove que la musique se soit offerte. Reste à lui donner l’âme. Le sieur Patry n’en manque pas "
Figaro Scope
"Sans doute le meilleur spécialiste français de l’orgue Hammond à l’heure qu’il est "
Rhoda Scott
"Stéfan Patry avec son énorme talent, vit sa passion d’organiste jusqu’au bout des doigts et des pieds "
Claude Lemesle
« Stéfan Patry a le regard tendre et tourmenté des poètes. Musicien de formation, il a su mettre des mots dans le jazz depuis que la mouche de l’écriture l’a piqué, piqué au vif de sa sensibilité, de son humour et de son imagination. Son air lunaire et rêveur cache, ne vous y trompez pas, un sens très sérieux de l’observation et du petit détail concret qui confère à une oeuvre, la dimension de la vérité. Doté, de surcroit, de cet orgueil de bon aloi indispensable pour devenir un grand et d’une présence scénique incontestable et très personnelle, Stéfan a tout pour réussir. Bientôt, je le souhaite, je l’espère, j’y crois, le public français sera Patryote. »